Ou Acheter Des Truffes : Comment Vendre Un Produit Marketing ?

by HectorTrethowan3 posted Nov 02, 2024
?

단축키

Prev이전 문서

Next다음 문서

ESC닫기

크게 작게 위로 아래로 댓글로 가기 인쇄 수정 삭제

Truffe Noire du Périgord fraîche - 1ère catégorie - 10… La plantation avec des instrumens à main donne beaucoup de facilité pour placer les pommes-de-terre à une distance et une profondeur déterminées. « Dans le mois d’avril, dit M. de Dombasle, on herse le premier labour, et on donne le second un peu moins profond que le premier ; afin de pouvoir conduire le fumier avec facilité et sans endommager le sol, on ne laboure qu’environ les deux tiers des billons ; on herse la partie labourée ; on ouvre, avec la charrue à deux versoirs, les sillons d’écoulement qui séparent les billons, et on laisse la terre en cet état pour la conduite du fumier. Comme les billons ont environ 25 pieds de largeur, et comme ce labour s’exécute en les fendant, il reste au milieu de chaque billon un espace suffisant pour la circulation des voitures On place une roue dans le dernier sillon ouvert, et l’autre sur la terre qui n’est pas labourée, et l’on décharge le fumier sur la terre labourée.

class=

Le labour se donne à 5 pouces de profondeur, et l’on place les tubercules non pas dans la raie ouverte, où ils seraient dérangés par les pieds des animaux, mais en les enfonçant à la main dans la terre meuble au pied de la bande de terre retournée. Pour la plantation des morelles avec des instrumens conduits par les animaux, on se sert de la charrue ou du binot comme en Saxe. VI. Par la plantation de tubercules entiers. Trop gros, ils pousseraient un grand nombre de petites tiges qui s’affament réciproquement ; trop petits, les tubercules ne contiennent pas assez de substance amilacée pour nourrir les jeunes bourgeons. Ces régions sont au nombre de six sur le versant méridional, de cinq sur le versant septentrional. Ces tomates ainsi préparées peuvent servir d’accompagnement à des noisettes d’agneau sautées, des saucisses grillées ou sautées, des foies de volaille, des rognons sautés, etc. On dépouille les tubercules d’une épaisseur suffisante de leur enveloppe ; on divise ces pelures en plusieurs morceaux ayant chacun un œil, et on plante à la manière ordinaire. Au moment de la plantation, on coupe les gros et moyens tubercules en fragmens de diverses dimensions, en ayant soin que chaque morceau soit muni de deux yeux au moins.


« Au moment de la plantation, le labour se donne en adossant ; chaque charrue prend deux billons, et elle travaille alternativement dans l’un pendant que les planteuses fonctionnent dans l’autre ; de cette manière, une femme suffit pour planter derrière chaque charrue. On doit exiger que les planteuses fichent une petite baguette ou branche d’arbre aux deux extrémités de chaque sillon planté ensuite. Dans chaque troisième raie ouverte par la charrue, les planteuses déposent un tubercule au point d’intersection des lignes du labour avec celles du rayonneur. Cela est conforme avec l’opinion émise par Knight, que l’on obtiendrait un produit au moins égal en espaçant davantage les lignes et en rapprochant les tubercules dans la ligne. Ce procédé est bien préférable à celui qui consiste à ouvrir d’abord des trous sur toute la surface du terrain, à déposer ensuite dans chacun d’eux la pomme-de-terre de semence, puis enfin à les combler. Lorsque la surface du sol a été bien ameublie par les labours, les hersages et les plombages, un ouvrier ouvre, sur une largeur déterminée de la pièce, une rangée de trous. Lorsque après la récolte, les tubercules ont été amoncelés dans un lieu à l’abri du froid, ils ne tardent pas à produire de petits tubercules dont la formation a valu à cette variété le surnom de couveuse, dénomination qui la caractérise dans certaines contrées.


22 pouces, le produit de l’hectare dont les tubercules auront été éloignés de 12 pouces dans la ligne sera 64 ; s’ils ont été éloignés de 18 pouces, le produit ne sera que de 57, pour tomber à 48 si la distance était portée à 24 pouces. Il ne peut être conseillé pour la culture économique des pommes-de-terre, et ne doit être utilisé que pour les variétés nouvelles dont on ne possède qu’une petite quantité. Ce mode de propagation n’est usité que dans la vue de multiplier les variétés et d’en obtenir de nouvelles ; il a l’inconvénient de ne pas procurer dans la même année des produits aussi abondans que les autres modes. Ce mode n’est usité que dans la petite culture. VII. Par provignage. - C’est un procédé, fort connu des horticulteurs, pour multiplier promptement des espèces rares ou rebelles à tout autre mode de reproduction. Ils sont aussi excellens en tuillieres, de façon que les couvertures des maisons sont fort embellies de bigarrures de tuillerie plombée en divers ouvrages, & le pavé de leurs chambres ; & il n’est rien plus délicat que leurs poiles qui sont de potterie. Les pousses tendres et délicates, obligées de passer subitement de la nourriture succulente fournie par le tubercule à celle qui se trouve dans les engrais, mais qui n’est point préparée, languissent quelque temps, et il est bien rare que cette circonstance n’exerce pas une influence désavantageuse sur la vigueur de la plante adulte.


Articles