Voilà l’ambassadeur espagnol qui repasse, dit Gansélès dans la chambre voisine. M. Pfefferman ; personne autre que l’ambassadeur espagnol. Je reconnais cependant ses chevaux isabelle, répliqua Pfefferman avec dignité. Une voiture attelée de chevaux isabelle, s’écriait au même instant Gansélès, dans la pièce à côté. J’ai un salon à Paris ; une terre dans quelque département ; je répands des bienfaits, je suis nommé à la chambre ; le reste dépend de moi, ou des caprices de la fortune, qui souvent porte au pouvoir des gens plus inconnus, moins bien préparés. Je n’aurais à te garder rancune que si tu avais écrit une meilleure pièce que la mienne. Il avait honte de lui-même, ce qui est pire que d’avoir honte devant les autres ; mais il eut la consolation de voir qu’après la première représentation, la pièce d’Andor passa dans la bibliothèque du théâtre, pour y moisir en compagnie de beaucoup d’autres œuvres dramatiques. Le directeur de « l’Incorruptible » se trouva cependant dans un certain embarras en voyant Andor arriver chez lui, le front calme, et le remercier de sa critique.
Lorsque Andor annonça tristement à son ami Wiepert que Messaline ne serait plus jouée au théâtre de la cour et qu’il ne se sentait pas le courage de la faire représenter ailleurs, pour y obtenir peut-être le même insuccès, le directeur de la Réforme prit une paire de ciseaux et se mit à découper un journal en petites bandes. Heureux ceux qui le comprennent assez tôt pour ne pas trop prolonger une lutte inutile, épuisante, enserrée de toutes parts par les limites de l’imagination, et où la jalousie se débat si honteusement que le même homme qui jadis, si seulement les regards de celle qui était toujours à côté de lui se portaient un instant sur un autre, imaginait une intrigue, éprouvait combien de tourments, se résigne plus tard à la laisser sortir seule, quelquefois avec celui qu’il sait son amant, préférant à l’inconnaissable cette torture du moins connue !
Quel nom donnes-tu à cette manière de tromper l’opinion publique ? On la trouve sur des sols plus légers que ceux recherchés par la truffe de Bourgogne, et plus particulièrement dans le département de la Meuse, d’où le nom que nous lui avons donné. Sans entrer dans la controverse sur sa classification, les deux espèces sont étroitement liées, montrant des différences au niveau de l’habitat (plus frais et biologiques pour les zones uncinatum T.), au niveau morphologique (couleur plus foncée et de l’ornementation réseau servage des spores plus développé en T. uncinatum) et organoleptique (goût et avec un parfum plus prononcé et agréable dans T. uncinatum) qui, de même, se reflète dans le prix du marché pour les 2 variétés différentes, 50-70 € / kg collecteur pour T. aestivum et jusqu’à 200 € / kg pour T. uncinatum. Les richesses prodigieuses introduites dans la capitale du monde, à la suite de ses conquêtes, le goût du luxe, de la parure, la soif des honneurs, corrompirent le cœur des romains, & l’agriculture se ressentit de la contagion.
Dans son temps, Schiller aussi a été malmené par les critiques de Berlin et accusé d’une excentricité, d’un manque de goût qui, aujourd’hui, nous semble d’un comique irrésistible. Nous n’ignorons pas non plus avec quel mépris les critiques d’Édimbourg ont parlé jadis des « heures de la Muse » de lord Byron, et comment il leur répondit dans sa terrible satire : les Bardes anglais et les critiques écossais. Nous savons que Ben Johnson et d’autres voyaient tout d’abord en Shakespeare « un corrupteur de la scène » ; nous savons de quels reproches Gœthe fut accablé, comment son Werther fut parodié et avec quel mauvais vouloir on accueillit ses élégies romaines. Il protégea les lettres et fut l'ami de Pétrarque. Aucune carte n’est l’extrême. Il n’est rien qui puisse me blesser sortant de votre bouche. Il n’est pas dans la ville, jeta Keith dédaigneusement. Mais avec le temps et l’expérience, ces deux grands maîtres, il est resté pour démontré que le chocolat préparé avec soin, est un aliment aussi salutaire qu’agréable ; qu’il est nourrissant, de facile digestion ; qu’il n’a pas pour la beauté les inconvénients qu’on reproche au café, dont il est au contraire le remède ; qu’il est très-convenable aux personnes qui se livrent à une grande contention d’esprit, aux travaux de la chaire ou du barreau, et surtout aux voyageurs ; qu’enfin il convient aux estomacs les plus faibles ; qu’on en a eu de bons effets dans les maladies chroniques, et qu’il devient la dernière ressource dans les affections du pylore.