Relever négligemment ses pantalons pour ensuite croiser les jambes en un geste élégant. Ne prenez pas la peine de réviser après 1789, le sujet risque moins de tomber. Au moins lui proposer (cf. Il ne pensa pas sans sourire à l’étrange contraste que produirait le juge auprès de madame d’Espard ; mais il se promit de l’amener à faire une toilette qui ne le rendît pas trop ridicule. C'est une mauvaise disposition pour étudier l'algèbre. Mais ce mari aurait la générosité de lui pardonner, et c'est là une humiliation qu'elle ne peut pas accepter : elle s' empoisonne. Si l'on vous dit : "Comme c'est intéressant !", méfiez-vous. Si l'on vous invite et que vous ne pouvez pas venir, tenez néanmoins compte de cette invitation pour inviter à votre tour la personne en question. Manières (bonnes) : n'oubliez pas que les personnes qui ont de bonnes manières ne vous diront jamais ce qui se dit, se fait, ne se dit ou ne se fait pas : ce ne serait pas convenable, justement. Il était de la dernière importance pour nous de visiter Ravensnest en personnes mais il pouvait être périlleux de le faire ouvertement
Les seuls reproches qu'on puisse faire à ce grand historien, c'est un peu de roideur, de sécheresse et d'obscurité; en outre, l'intérêt du récit est refroidi par la division monotone des événements en périodes régulières d’été et d’hiver. L'agriculture était à peu près nulle chez eux; ils vivaient de la chair de leurs troupeaux et de rapines. Habitée par une foule de peuplades diverses, la Thrace n'offrait que des divisions vagues : on y distinguait la Chalcidique, (attribuée quelquefois à la Macédoine), l'Édonide, la Bisaltie, la Sintique, la Bessique, l'Odomantique, la Bistonide, la Ciconide, l'Odrysiade, l'Astique, le pays des Triballos. THRACE (Diocèse de), une des grandes divisions de l'empire d'Orient. Il y avait sur le littoral beaucoup de villes grecques, soit libres, soit soumises à quelque métropole (Amphipolis, Cardie, Périnthe, Sélymbrie, Byzance, Abdère, etc.) La Thrace était un pays montagneux et froid ; elle fournissait d'excellents chevaux. Elle s’accroupit pour calculer et méditer, puis reprend sa route. Puis, après avoir, non sans peine, dégagé son épée parmi les jambes grêles où elle s’était engagée, il regagna pédestrement à travers la cour des Tuileries le fiacre qu’il avait laissé sur le quai
Thouret (1748-1810), médecin distingué, remplit plusieurs missions importantes, et devint professeur et directeur de l'École de médecine lors de sa réorganisation. Il fut professeur d'économie rurale aux Écoles normales et membre de l'Institut dès sa fondation. THOURET (Jacq. Guill.), membre de l'Assemblée constituante, né à Pont-l'Évèque en 1746, était avocat au parlement de Rouen; fut député en 1789 aux états généraux par le tiers état de Rouen; fut élu président de l'Assemblée et rapporteur du comité de Constitution; devint plus tard président du tribunal de cassation, et périt sur l’échafaud le 22 avril 1794. On a publié de lui un Abrégé des révolutions de l'ancien gouvernement français (extrait de Dubos et de Mably), 1800, et des Tableaux chronologiques de l'histoire ancienne et moderne (1821). - Son frère, Aug. GALATÉE, Néréide, fille de Nérée et de Doris, fut aimée de Polyphème et d'Acis, et préféra ce dernier au difforme Cyclope. Il se montra toujours fort opposé à la France : une des conditions secrètes du traité de Campo-Formio fut son éloignement. THUILLIER (dom Vincent), bénédictin de la Congrégation de St-Maur, né à Coucy près de Laon en 1685, m. en 1735, fut sous-prieur de son ordre. Il remplit diverses missions, notamment à Constantinople, en France et à Naples, fut ambassadeur d'Autriche en Pologne (1780), administrateur général de la Valachie et de la Moldavie en 1788, revint à Vienne après la mort de Léopold II, détermina le nouvel empereur, François II, à entrer dans la coalition contre la France, dirigea depuis ce temps toute la politique autrichienne, et devint en 1794 premier ministre
Le port du cap de Bonne-Espérance (H. CAMPBELL (John), écrivain écossais, né à Édimbourg en 1708, mort en 1775, s'établit de bonne heure à Londres et y publia un grand nombre d'écrits historiques qui eurent du succès : Histoire militaire du prince Eugène et de Marlborough, 1736,; Vies des amiraux anglais, 1742-44; Tableau politique de la Grande-Bretagne, 1744. Il eut aussi une grande part à l’Histoire universelle, publiée à Londres en 60 vol., ainsi qu'à la Biographia Britannica, et édita plusieurs voyages, entre autres ceux d’Édouard Browne, 1739. Il occupa depuis 1765 le poste d'agent du roi pour la Géorgie (Amérique du Nord). Car la politique n’est pour nous que la force mise courageusement au service du bon droit. Nubar Pacha, lui, nous entretient de l’impitoyabilité du gouvernement avec les faibles. « Nous ne pouvons et ne devons pas - surtout maintenant - tourner le dos aux personnes qui ont besoin de sécurité et de protection », « tant que les facteurs de déplacement continueront à forcer les gens à quitter leur foyer, la protection internationale sera nécessaire ». Ce sont là d’heureux résultats qui servent de puissans argumens aux partisans absolus du système de la participation
Les seuls reproches qu'on puisse faire à ce grand historien, c'est un peu de roideur, de sécheresse et d'obscurité; en outre, l'intérêt du récit est refroidi par la division monotone des événements en périodes régulières d’été et d’hiver. L'agriculture était à peu près nulle chez eux; ils vivaient de la chair de leurs troupeaux et de rapines. Habitée par une foule de peuplades diverses, la Thrace n'offrait que des divisions vagues : on y distinguait la Chalcidique, (attribuée quelquefois à la Macédoine), l'Édonide, la Bisaltie, la Sintique, la Bessique, l'Odomantique, la Bistonide, la Ciconide, l'Odrysiade, l'Astique, le pays des Triballos. THRACE (Diocèse de), une des grandes divisions de l'empire d'Orient. Il y avait sur le littoral beaucoup de villes grecques, soit libres, soit soumises à quelque métropole (Amphipolis, Cardie, Périnthe, Sélymbrie, Byzance, Abdère, etc.) La Thrace était un pays montagneux et froid ; elle fournissait d'excellents chevaux. Elle s’accroupit pour calculer et méditer, puis reprend sa route. Puis, après avoir, non sans peine, dégagé son épée parmi les jambes grêles où elle s’était engagée, il regagna pédestrement à travers la cour des Tuileries le fiacre qu’il avait laissé sur le quai
Thouret (1748-1810), médecin distingué, remplit plusieurs missions importantes, et devint professeur et directeur de l'École de médecine lors de sa réorganisation. Il fut professeur d'économie rurale aux Écoles normales et membre de l'Institut dès sa fondation. THOURET (Jacq. Guill.), membre de l'Assemblée constituante, né à Pont-l'Évèque en 1746, était avocat au parlement de Rouen; fut député en 1789 aux états généraux par le tiers état de Rouen; fut élu président de l'Assemblée et rapporteur du comité de Constitution; devint plus tard président du tribunal de cassation, et périt sur l’échafaud le 22 avril 1794. On a publié de lui un Abrégé des révolutions de l'ancien gouvernement français (extrait de Dubos et de Mably), 1800, et des Tableaux chronologiques de l'histoire ancienne et moderne (1821). - Son frère, Aug. GALATÉE, Néréide, fille de Nérée et de Doris, fut aimée de Polyphème et d'Acis, et préféra ce dernier au difforme Cyclope. Il se montra toujours fort opposé à la France : une des conditions secrètes du traité de Campo-Formio fut son éloignement. THUILLIER (dom Vincent), bénédictin de la Congrégation de St-Maur, né à Coucy près de Laon en 1685, m. en 1735, fut sous-prieur de son ordre. Il remplit diverses missions, notamment à Constantinople, en France et à Naples, fut ambassadeur d'Autriche en Pologne (1780), administrateur général de la Valachie et de la Moldavie en 1788, revint à Vienne après la mort de Léopold II, détermina le nouvel empereur, François II, à entrer dans la coalition contre la France, dirigea depuis ce temps toute la politique autrichienne, et devint en 1794 premier ministre
Le port du cap de Bonne-Espérance (H. CAMPBELL (John), écrivain écossais, né à Édimbourg en 1708, mort en 1775, s'établit de bonne heure à Londres et y publia un grand nombre d'écrits historiques qui eurent du succès : Histoire militaire du prince Eugène et de Marlborough, 1736,; Vies des amiraux anglais, 1742-44; Tableau politique de la Grande-Bretagne, 1744. Il eut aussi une grande part à l’Histoire universelle, publiée à Londres en 60 vol., ainsi qu'à la Biographia Britannica, et édita plusieurs voyages, entre autres ceux d’Édouard Browne, 1739. Il occupa depuis 1765 le poste d'agent du roi pour la Géorgie (Amérique du Nord). Car la politique n’est pour nous que la force mise courageusement au service du bon droit. Nubar Pacha, lui, nous entretient de l’impitoyabilité du gouvernement avec les faibles. « Nous ne pouvons et ne devons pas - surtout maintenant - tourner le dos aux personnes qui ont besoin de sécurité et de protection », « tant que les facteurs de déplacement continueront à forcer les gens à quitter leur foyer, la protection internationale sera nécessaire ». Ce sont là d’heureux résultats qui servent de puissans argumens aux partisans absolus du système de la participation